Par une décision d27 mai 2022, la Cour nationale du droit d’asile accorda une protection subsidiaire à une ressortissante Béninoise en raison de l’incapacité des autorités de son pays d’origine pour assurer sa sécurité.
En l’espèce, la requérante fut considérée par des membres de son village comme une prêtresse vaudou. Elle fut alors dès son plus jeune âge, et sans pouvoir ni être protégée par ses parents, ni par les autorités de son pays, victime de mauvais traitement.
La cour a alors retenu qu’elle ne pouvait être protégée par son pays et devait bénéficier d’une protection subsidiaire.
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